Qu’est-ce que l’ESEC ?
Reconnue par le Ministère de la Culture et comme l’une des premières écoles internationales, l’ESEC est classée 4ème meilleure école de cinéma en France après les enseignements nationaux, 1ère école privée et 16ème des 20 meilleures écoles de cinéma en Europe (source Le Figaro / Justine Ducharne)
Ouverte auprès du Ministère de l’Éducation nationale en 1973, l’ESEC reçoit des étudiants de plus de 70 nationalités différentes.
L’ESEC est membre du Collège des organismes de formation de l’Ecole nationale FEMIS de 1986 à 1998 / Membre du Conseil d’administration de l’Ecole nationale FEMIS de 1995 à 1998 / Membre-associé de l’agence nationale CampusArt / Membre du CILECT (Centre International de Liaison des Ecoles de Cinéma et de Télévision) / Partenaire officiel du Prix de la Jeunesse organisé par le Ministère de la Jeunesse et des Sports dans le cadre du Festival de Cannes / Partenaire officiel du Festival du film de Sarlat où l’ESEC décerne le prix du meilleur film lycéen / Partenaire officiel du Festival de Cannes depuis 1986 / L’ESEC participe avec ses étudiants stagiaires au Festival de Cannes et au Festival international du court-métrage de Clermont-Ferrand.







Les formations certifiées
L’ESEC délivre des titres d'adjoints à la réalisation, d'adjoints à la production et à la distribution, et de monteurs-truquistes d'œuvres cinématographiques et audiovisuelles, certifiés par l’État de niveau 6. Ces diplômes permettent des équivalences avec toutes les Universités et Grandes Ecoles internationales. En particulier aux Etats-Unis : University of Southern California (USC), University of California Los Angeles (UCLA) et New York University (NYU).
Les statistiques des débouchés professionnels des étudiants diplômés de l’ESEC, déposées auprès du Ministère de l’Emploi et auprès de la Commission nationale des certifications professionnelles (CNCP), indiquent un taux d’intégration professionnelle de 75 à 85% des diplômés selon la promotion et la spécialisation.
L'Equipe
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JérômeENRICODirecteur
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VéroniqueZIMMERResponsable pédagogique
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SoniaABADResponsable comptable
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MarilouLE SEIGLEResponsable administrative
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ValérieTHENOTChargée des classes préparatoires
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FouadOUALIResponsable Technique
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StefanMICHALSKIAssistant Technique
L'ESEC se raconte
- 1973
- 1975
- 1980
- 1983
- 1983
- 1983
- 1984
- 1984
- 1986
- 1986
- 1987
- 1987
- 1988
- 1991
- 1993
- 1993
- 1993
- 1996
- 1997
- 2000
- 2003
- 2006
- 2006
- 2007
- 2009
- 2011
- 2012
- 2013
- 2014
- 2015
- 2017
1973
Création de l'ESEC. Elle a pour objet la formation de professionnels dans les domaines pratiques et techniques de la réalisation cinématographique.
Première école à enseigner les structures professionnelles et l’économie du cinéma, elle choisit René Bonnell, docteur en économie, lequel deviendra directeur de la distribution de la société Gaumont, un des fondateurs de Canal Plus, directeur des programmes et des développements à France télévisions et enfin président de France 5.
1975
Deux ans après la création de l’école, les professionnels du cinéma (Centre national du Cinéma, Ministère des affaires étrangères, Chambres syndicales de producteurs, de techniciens et de comédiens) participent aux Clubs-rencontre de l’ESEC sur les sujets les plus ardents de l’actualité professionnelle. Parmi les premiers intervenants : Serge Moati, Daniel Toscan du Plantier, Hubert Astier, Jean-Louis Trintignant.
1980
L’ESEC succède, dans le quartier des Champs Elysées, à l’Office de la Création Cinématographique — un des départements du Centre national du cinéma (Ministère de la Culture). Pierre Viot, représentant le Ministre, inaugure les nouveaux locaux de l’école en présence des professionnels.
1983
L’ESEC célèbre ses 10 ans sous le parrainage du Ministre de la Culture, Jean-Philippe Lecat.
1983
Des accords avec l’école d’État du cinéma de Moscou (VGIK) se concrétisent et sont repris au sein de la Grande Commission Mixte Franco-soviétique, sous la tutelle des ministères des affaires étrangères des deux pays. Une délégation d’étudiants de l’ESEC tourne en Arménie, en co-production avec une équipe de l’École nationale de Moscou.
1983
L’ESEC est le producteur et/ou le cofinancier des travaux vidéo ou films cinéma d’élèves en fin d’études.
Elle accueille des expositions d’art contemporain : peinture, sculpture, photographie, art-vidéo. Elle anime des rencontres avec des artistes contemporains : Dominique Dehais, Alain Balzac, Florence Roqueplo, Jean-Louis Vila, Michel Chion, Kevin Yu, Nathalie Rich, Uwe Reimer.
1984
Kostia Milhakiev, fondateur et directeur de l'ESEC, est appelé, par Jack Gajos, dans la commission mise en place au Ministère de la culture en vue de réformer l'enseignement du cinéma. Issue de cette réforme, la Fémis succèdera à l'ancien Idhec en 1986. L'ESEC devient membre du Collège des organismes de formation de la Fémis dès sa création. Kostia Milhakiev est élu à son conseil d'administration où il siègera juqu'en 1999.
1984
Pour répondre à une demande croissante des professionnels, l'ESEC crée un atelier formant à la production cinématographique. Daniel Baschieri, Rémi Bergman, Jean-Philippe Blime, Jean-Claude Schlim sont issus des premières promotions.
1986
Mille mètres carrés (auxquels s’ajoute depuis 2002 un studio de deux cents mètres carrés) sont dévolus aux enseignements de l’ESEC, rue de Citeaux. Parallèlement à son enseignement de cinéma, connu désormais dans près de quatre-vingt pays, l’ESEC est la première école à développer ses programmes vers les nouveaux métiers techniques et de création liés à la vidéo et au numérique.
Sous l’impulsion de Dominique Chastres, directeur des études, l’enseignement de la vidéo fait son entrée à l’ESEC. Ignacio Ramonet — directeur du journal Le Monde Diplomatique — décrypte le langage de la télévision. Michel Jaffrenou, artiste et inventeur de nouvelles images pour la télévision, Pierre Garbolino-Bressa artiste de l’image, interviennent à l’ESEC auprès d'ingénieurs tels Guy Diard, concepteur en imagerie de synthèses. Anne-Marie Duguet enseigne l’esthétique.
1986
Au printemps de cette année-là, l’aventure de l’ESEC devient spatiale .
En association avec le Jet Propulsion Laboratory de la NASA, et le Centre national d’études spatiales du CNRS, l’ESEC est à Pasadena aux Etats-Unis où la sonde interplanétaire Voyager 2 envoie les images de sa rencontre avec la planète Uranus. Les images sont expédiées chaque soir par avion, récupérées à l’aube à Paris, traitées à l’ESEC et diffusées vers le milieu de journée devant un parterre de scientifiques français, associés depuis le début de cette expérience à leurs homologues américains. Yves Zéau, coordinateur auprès de l’Observatoire de Paris, est le maître d’œuvre de cette extraordinaire expérience.
1987
Le Festival de Cannes ouvre ses portes à l'ESEC. Les étudiants filment en vidéo les archives du festival non couvertes par les télévisions internationales accréditées.
En partenariat avec la Régie Renault, fournisseur des véhicules officiels, les caméras de l’ESEC se posent sur le tapis rouge des célèbres marches et filment les stars à la descente de leur voiture, là où aucune caméra de télévision officielle n'avait à ce jour obtenu à un tel privilège.
1987
Un atelier de recherche sur la télévision met en application des essais esthétiques, issus de l’expérimentation, dans des productions destinées à la diffusion. La Cité des sciences de la Villette est parmi les partenaires de ces productions. Les étudiants du département vidéo de création travaillent à des projets d’artistes. Un atelier collabore à une création de Dominik Barbier et Cathy Vaughan en coproduction avec le Centre international de création vidéo (CICV). Jean-Marie Duhard, producteur de télévision à Canal Plus, Hervé Michel, directeur des ventes et de la distribution internationale à France télévisions, Jérôme Lefdup, réalisateur à Canal Plus, sont parmi les intervenants français du programme. Des Etats-Unis et du Canada viennent les rejoindre Shelly Silver, documentariste, John Sanborn, chercheur en développement du cinéma interactif et spécialiste de télévision digitale, et Stephen Sarrazin, critique et essayiste en art contemporain.
1988
Trente sept personnalités et institutions professionnelles, parmi lesquelles Claude Berri, Bertrand Blier, Fanny Cotençon, la Fémis, l'Association des cinémas d'Art et d'Essai et le Ministère des affaires étrangères constituent le Comité de parrainage du 15ème anniversaire.
1991
L’ESEC organise à Saint-Petersbourg des symposiums sur le cinéma et la vidéo, des projections et des ventes de films français. Les étudiants participent à des stages et à des tournages au sein de structures de production russes. A Paris, des techniciens des studios Lenfilm viennent à l’ESEC approfondir leurs connaissances du multimédia.
1993
L'ESEC ouvre son département Arts et médias électroniques. Il trouve ses parrains parmi les plus prestigieux professionnels américains : Gary Hill, dont les installations sont exposées dans les musées d’arts contemporains, Stefaan Decostere, réalisateur de télévision et spécialiste de l’internet, Shelly Silver, John Sanborn, Lynn Hershman, artistes et réalisateurs. Egalement Bryan Singer et Christopher Gans. Les nouvelles technologies passent en effet dans les mains des auteurs : Peter Greenaway, Wim Wenders, Akira Kurosawa, Steven Spielberg, David Lynch, expriment de nouvelles perspectives de création.
Les oeuvres numériques des étudiants remportent des récompenses au Festival Vidéo de Montbéliard comme à celui de Tokyo. Avec Stefaan Decostere, les étudiants travaillent sur le site internet officiel de la ville de Bruxelles pour son 2000ème anniversaire.
1993
Au sein du département Arts et médias électroniques, un atelier est consacré au documentaire de création.
1993
Le 20ème anniversaire est parrainé par le Ministre de la culture, Jacques Toubon, et les personnalités professionnelles.
1996
L'ESEC ouvre son site internet.
1997
L'ESEC est la première école privée à bénéficier d'une homologation par l'Etat pour l'ensemble de ses formations.
2000
L’ESEC ouvre son département d’effets spéciaux, en phase avec Canal Plus qui programme L’Oeil du Cyclone et Avances sur image, premières émissions consacrées à la vidéo de création et aux images numériques. Les réalisateurs Jean-Paul Fargier et Hervé Nisic participent aux enseignements, accompagnés de responsables techniques et de créateurs des sociétés Ex-Nihilo et Duboi, dont Jean-Louis Le Tacon, docteur en audiovisuel, réalisateur de télévision.
2003
A l'occasion du 30ème anniversaire de l'Ecole, Jean-Pierre Jeunet, Nikita Mikhalkov, Ettore Scola, Abbas Kiarostami, Jean-Claude Brisseau, Claude Miller, Jean-Marc Barr, Ettore Scola rejoignent les parrains officiels de l'ESEC.
2006
Tous les enseignements de l'ESEC reçoivent la Certification par l'Etat et sont élevés au niveau II (Licence-Maîtrise)
2006
Le journal Le Figaro classe l'ESEC 16ème meilleure école de cinéma en Europe, 4ème meilleure école de cinéma française, 1ère meilleure école privée de cinéma française.
2007
Yvon Marciano, auteur-réalisateur et enseignant à l’ESEC réalise un film de long-métrage : « VIVRE » coproduit par Esec Production, avec une équipe entièrement composée d’étudiants de l’ESEC.
2009
L’ESEC développe la partie artistique et créative de ses enseignements à travers de nouveaux cours sur le scénario et la direction d’acteurs, sous la houlette de Jérôme Enrico.
2011
L’Ecole crée un programme d’échange international avec l’Australie et la Sydney Film School.
2012
Les ateliers d’écriture libre de l’ESEC, crées et dirigés par Jérôme Enrico, donnent naissance au film « PAULETTE », produit par Légende Entreprise et distribué Gaumont. Le film dépasse le million d’entrées en salle.
2013
L’ESEC ouvre un département scénario, émanation directe des ateliers d’écriture libre crées par Jérôme Enrico. Les scénaristes Noémie Delapparent, Agnès Feuvre, Raphaël Chevènement, Dan Franck, Noé Debré... forment les étudiants aux différentes écritures audiovisuelles. Le point culminant de la formation est un séminaire d’écriture au Moulin d’Andé avec la collaboration du CECI (Centre des Ecritures Cinématographiques).
2014
L’ESEC fête son 40ème anniversaire avec ses anciens étudiants et les nombreux professionnels qui accompagnent l’Ecole depuis sa création. L’événement donne naissance à un rendez-vous annuel qui réunit au mois de juin professionnels et étudiants sur la terrasse arborée de l’école.
2015
L’ESEC, en collaboration avec le Bureau des Etudiants, ouvre un Ciné-Club qui accueille notamment les réalisateurs Jean-Paul Rappeneau, Patrice Leconte, Pierre Jolivet… A partir de cette date, l’ESEC propose quatre fois par an des expositions de travaux d’élèves et d’artistes extérieurs.
2017
L’ESEC remporte le Grand Prix du concours Clouzot auquel participent 23 écoles de cinéma françaises et belges, grâce au film « ANNIE » réalisé par deux étudiants de l’atelier Réalisation : Valentin Coste et Florent Beaudot.